Deux journalistes, Pricile Kpogbeme et Angela Kpeidja dénoncent le harcèlement sexuel dont elles ont été victimes.
Alors que beaucoup se questionnent sur la nécessité d’un féminisme en Afrique pour combattre le patriarcat, cet exemple vient donner une part de réponse. Les droits des femmes sont aussi bafoués en Afrique ( contrairement à ce que certains détracteurs de féminisme font croire). Il est temps de questionner le patriarcat africain et ses conséquences sur les femmes africaines.
Tout a commencé avec un message sur le mur facebook de la journaliste Angela Kpeidja le 1er mai.

Sa consœur Pricile Kpogbeme lui emboîte le pas et se livre dans une video. Elle dit tout son tabou. De la drague intempestive à la demande de fellation par un de ses patrons, elle raconte comment elle a dû mettre fin à sa carrière pour avoir la tranquillité.
La masculinité toxique a encore fait des victimes. Les femmes doivent mettre de coté leurs ambitions pour échapper au agressions sexuelles voire au viol.